Clément Mansencal

D'autres témoignages

Comment j’aimerais que tu sois parmi nous en ces instants, je pourrais te prendre dans mes bras et te serrer très fort. Je ne sais comment exprimer ma souffrance de t’avoir perdu comme ça, d’un coup.
Je me souviens des bons moments passés avec toi ; comme quand tu me taquinais, surtout en technologie. C'étaient des moments si agréables, mémorables.
Tu ne peux pas savoir combien tu me manques, pourtant je ne te connaissais pas spécialement, mais, dans la classe, on était tous si proches, liés. Tous ces moments passés avec toi me manquent tellement ; tu étais si doux, si compréhensif.
Je me souviens encore de ton visage, très souriant, joyeux et jamais triste.
La classe sans toi ne sera plus jamais pareille, ton absence sera un vide. Tu seras toujours présent dans mon cœur.
Je sais combien tu as été heureux ici, nous aussi étions heureux d’être avec toi et surtout de t’avoir connu.
Je ne regrette rien de tous ces bons moments passés avec toi.
Tu sais, même si tu es parti, pour moi tu restes toujours présent par ta pensée car peut-être un homme meurt mais une pensée, elle ne meurt jamais, elle est toujours présente. Tu vois, je ne sais pas pourquoi je pense ça mais je le pense en tout cas.
Moi, je suis sure que quand les lutteurs gagneront ou perdront, ils penseront qui si tu avais été là, ils auraient fait mieux, car le peu que je sais sur ta carrière de lutteur, c’est que tu étais très doué.
Si tu étais toujours parmi nous, je pense que tu serais allé à un très haut niveau dans tes compétitions.
Esther
M. et Mme Mansencal, j’ai écrit cette lettre à votre fils, maintenant je vais vous en parler à vous.
Vous avez de la chance d’avoir eut un fils aussi gentil, doué et compréhensif avec les gens.
Il était… Je ne trouve pas les mots pour exprimer comment était votre fils car il y a tellement de chose bien à dire sur lui.
J’ai aussi du mal à exprimer les sentiments que j’avais pour lui. Quand j’ai appris la triste nouvelle, j’ai vraiment compris que je tenais extrêmement à votre fils, comme tous dans la classe d’ailleurs. Ça a été un grand plaisir pour moi de connaître votre fils.
Ce que je vous dis encore c’est qu’il était unique en son genre : doué, gentil, compréhensif et surtout toujours joyeux.
Je vous remercie d’avoir fait un fils comme lui.
Esther

Clément
Tu es parti beaucoup trop vite ! Ton départ a affecté tout le monde sans exception.
Tous autant que nous sommes aimerions te voir ici, parmi nous, à rigoler et faire rigoler.
Je ne suis pas lutteur, mais je pense que nous étions très proche l’un de l’autre, et rien ni personne ne pourra combler le trou que tu as causé dans mon cœur et celui de tes camarades.
Je sais que si tu avais été là, tu aurais voulu jouer au jeu de la « barbichette » (jeu ou tu gagnais tout le temps) pour que je te fasse rire, mais là, ton départ m’a affecté terriblement.
On dit souvent que souffrir rend plus fort, pourtant je ne sens vulnérable, d’une gigantesque faiblesse.
Michaël Njike, qui ne t’oubliera jamais. Pour mon cœur, tu es toujours là.

Apprenant ton départ, dur pour moi et pour nous tous, je te remercie d’avoir été toujours présent, toujours là ; et je voulais te dire que je ne t’oublierais jamais. Tu resteras gravé pour toujours dans ma mémoire.
Tu savais rigoler, comme être sérieux. Je n’oublierai jamais les moments que nous avons passé ensemble.
J’aurais voulu que cette histoire aille plus loin, mais pour moi, tu es toujours là ; je te vois, je pense sans cesse à toi, et je te le redis, merci pour tout, sincère et dévoué, tel était Clément.
Amis pour la vie, je ne cesserai de penser à toi, et je te le dis de tout mon cœur, je t’adore.
CM

Clément était quelqu’un de bien, toujours souriant pour le peu que je le connaisse.
En classe, Clément était un peu effacé par rapport aux cours.
Moi, je suis assez touché de voir ce vide dans la classe ; mais étant croyant, je sais qu’il est vivant d’une manière ou d’une autre. J’ai déjà vécu ça pour mon grand-père, il y a 1 an et pour ma tante, il y a 3 ans.
« … »
Moi, l’année dernière, au mois de juin, j’étais à Lourdes auprès de Marie qui m’a consolé. C’est la raison pour laquelle je ne suis pas trop affecté de l’absence de Clément.
Il faut dire qu’étant élève dans sa classe, je ne l’ai pas rencontré souvent entre les heures scolaires, et que je n’ai pas vécu avec lui au quotidien.
Pierre Henry, élève de sa classe.

Clément, reviens !
Tu étais pour ma part, bien plus qu’un simple camarade, tu étais un ami.
Cela faisait peut-être deux mois que je te connaissais, mais j’avais l’impression que ça faisait quelques années. Je t’ai apprécié très vite, on a sympathisé tous les deux assez rapidement et on est toujours parti sur les mêmes délires.
Tu étais un camarade clé et exemplaire pour l’ambiance de la classe.
Tu te faisais respecter et tu respectais tout le monde.
Tu acceptais le monde comme il était, avec leurs qualités et leurs défauts, tu étais vraiment un mec bien.
J’ai vraiment beaucoup de mal à accepter que tu ne sois plus de ce monde, et j’ai encore beaucoup de mal à la croire.
Ton prénom, ton sourire, ta joie de vivre, ta fierté, et j’en passe, seront toujours gravés en mon cœur.
Moi qui croyais au mot « impossible », aujourd’hui, je suis moins sûr, car tu es parti physiquement mais ton âme restera toujours à Font-Romeu pour moi.
J’aurais tellement aimé que tu lises cette lettre, et te dire tout ce que je n’ai osé te dire ou t’écrire.
« … »
La vie est injuste. Elle nous a volé un type génial, et à part nous faire souffrir, à quoi elle nous sert la vie ?
Si elle s’arrête si jeune à quoi sert-elle ?
La vie n’est plus un mystère ! Mes larmes coulent sans cesse, mais je pense que ceci changera ton destin. Celui-ci est déjà tracé.
Moi, quoi qu’il arrive, je ne t’oublierai jamais.
TU ME MANQUES DÉJÀ ! REVIENS PARMI LES TIENS !
David, un élève de sa classe qui partage la tristesse de sa famille.

Clément,
Je me souviens des moments que l’on a passé, les fou-rires quand tu jouais à la barbichette avec Michaël.
Tout le monde est très affecté de ta disparition. Au début, je ne voulais pas y croire, mais j’ai dû l’accepter, jamais je ne pourrais t’oublier.
En classe, tu ne faisais pas de bruit, mais à peine sorti de la salle que tu jouais ! Tu te plaisais ici.
Tu n’embêtais jamais personne, tu étais gentil comme tout, on était obligé de t’aimer.
On n’avait pas beaucoup d’affinité, mais on discutait, on s’amusait. Mais tu es parti, on t’a arraché à la vie, c’est ainsi.
Tous ces moments, je ne les oubliais jamais !
Je ne t’oublierai jamais.
X

Clément,
«…»
Je ne vais pas mettre nos beaux souvenirs ensemble.
Je les garde pour moi, ils sont trop précieux et ils nous appartiennent à tous les deux…
Je ne pense pas dire comme Aurélie que je te considérais comme mon frère car ce n’est pas ce genre de sentiments que j’éprouvais. « … »
C’est injuste, la vie est mal faite… Le prof de Français nous a dit que tu vivras toujours en nous, il a raison car c’est comme ça.
Tu faisais partie de mon quotidien, et il y a une part de toi en moi, car c’est avec les gens qu’on aime, avec les amis qu’on se construit.
Je ne t’oublierai pas, et tu ne m’oublieras pas.
« … »
Bisous sur ton petit nez ! (comme avant !!!)
« … »
Ta Zouz !

Les documents (chanson, clip...) en hommage à Clément

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